MyAstus

joined 1 year ago
MODERATOR OF
[–] [email protected] 1 points 1 month ago

Triste que avoir un gouvernement qui ne soit pas raciste soit de la science fiction...

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago) (2 children)

Libé être comme : il faut que le gouvernement soit raciste mais de manière plus ciblé.

Mais oui, si tout les opposants politiques sont fichés s, c'est plus facile de faire discréditer les opposants politique. C'est la même chose ici

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

Aucun signe religieux ostentatoire : je confirme que les bombes sont bien laïqueset donc confirmés a la loi francaise concernant l'intégrité de la république.

Source : https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/nikki-haley-photographiee-en-ecrivant-achevez-les-sur-un-obus-israelien

[–] [email protected] -1 points 1 month ago (4 children)

Dans un principe de laïcité je te demanderais de bien vouloir ne pas mentionner le fait que tu as des origines arabes.

Tu aurais été chrétien ça aurait été différent.

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago) (31 children)

Si la justice a dit, la justice a raison. Soyons tous racistes et invoquons la laïcité pour taper sur les arabes !

Edit (puisqu'il y a besoin apparemment) : ce commentaire est sarcastique.

Mais mon propos reste le même : ce n'est pas car il y a eu décision de justice disant que qqch est légal que cela en retire son caractère raciste.

[–] [email protected] 4 points 1 month ago (35 children)

Rappel que la laïcité c'est pas de ne pas porter un voile.

C'est que la religion n'influe pas sur l'etat. C'est pas avec un voile sur la tête que tu fais du prosélytisme.

D'autant que leurs collègues aussi dénonce aussi ce licenciement abusif.

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

De plus une oqtf c'est comme une fiche S.

Tu l'obtiens si un flic n'aime pas ta gueule.

Des méthodes assez proches de celles du KGB ou de la stasi finalement.

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

Tous ont livré une version similaire, assurant qu'ils étaient persuadés de se rendre chez le couple Pelicot pour "un trio échangiste".

Sous le feu des questions, l'accusé se justifie : "Je ne suis pas allé loin à l'école, 'à son insu' [du nom de la rubrique sur Coco.fr où Dominique Pelicot postait ses annonces], je ne savais pas ce que ça voulait dire." Et d'ajouter, indigné : "On me traite de violeur, mais je ne suis pas un violeur ! C'est un truc trop lourd à porter pour moi."

Mais bon, comme ces gars n'ont pas d'oqtf c'est OK j'imagine...

[–] [email protected] 2 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

Pour palier a ce problème il faudrait qu'une âme charitable partage l'apk. Mais je ne l'ai pas encore trouvé

Edit : https://apkvision.org/games/strategy/balatro-116978/

[–] [email protected] 1 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

Les flics peuvent (et non pas doivent) délivrer une oqtf si une personne non française est en "irrégularité" de séjour (et c'est la loi qui dit ce qu'est qu'être en illegularite et ça change tout les 2-3 ans.)

Donc ça ne dit en rien du tout de la "dangerosité d'une personne.

Globalement plus la police et le gouvernement sont racistes, plus il y a d'oqtf.

Il est facile de dire que cette personne était sous oqtf puisque effectivement elle n'a pas pu renouvelé sont titre de séjour en prison. Après les racistes s'en donne a coeur joie pour généraliser ça a toutes les personnes sous oqtf (et donc racisés).

Il est donc bien question de récidive suite a un viol et non d'immigration.

Edit : la réponse est plus a destination de @[email protected] qui visiblement préfère être raciste que de voir les problème de ce système

[–] [email protected] 3 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

Juste merci. J'en pouvais plus du site de la SNCF.

[–] [email protected] 3 points 1 month ago (1 children)

Clairement. C'est la qu'on voit que la SNCF devrait sérieusement remettre en question son management. Ils sont plus focus sur l'aspect vente/marketing que sur l'accès aux gens a leurs services.

Ceci dit c'est aussi peut être intentionnel de rendre le service merdique pour le privatiser plus facilement.

 

Bonjour, voici une petite news concernant notre gouvernement et ses alliés de droite.

Comme chaque année, l'Assemblée doit voter le PLFSS (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale), et pour résumer, celui de 2024 vise les salarié·e·s en arrêt maladie en prévoyant l'intervention de medecins-flics pour vérifier la validité de ces arrêts, mais également en réduisant les indemnités des victimes d'accidents du travail.

  • D'une part, cette loi permet aux entreprises de payer des médecins pour rendre visite aux personnes en arrêt maladie et vérifier si celui-ci n'est pas "injustifié" (sur quels critères ? On ne sait pas, d'autant plus que l'arrêt aura déjà été validé par un médecin). Dans ce cas, l'employeur pourrait mettre fin à l'arrêt maladie et contraindre le salarié à reprendre le travail en suspendant ses indemnités.

  • Deuxièmement, cette loi aborde les fautes inexcusables (lorsqu'un employeur n'a pas assuré une sécurité adéquate à son employé·e, entraînant ainsi un accident du travail). Un forfait sera versé par l'etat à l'employeur pour contribuer à couvrir une partie des indemnités, et la rente alloue au salarié·e·s apres invalidité sera désormais majorée. Par conséquent, il y aura donc moins de sanctions à l'encontre des employeurs qui mettent leurs salarié·e·s en danger et donc plus d'employeurs qui le feront.

De joyeuses choses qui passeront en 49.3 et qui, j'en suis sur, raviront tout le monde ici.

Sources :

https://twitter.com/fdesriaux/status/1708835909066428872

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b1682_projet-loi.pdf - Article 27 pour "garantir la soutenabilité de notre modèle social" et 39 pour "moderniser l’indemnisation d’accident du travail ou de maladie professionnelle".

 

RSA : l’Assemblée adopte une vieille marotte de la droite

La majorité et la droite Les Républicains ont fait passer, à trois voix près, l’une des mesures les plus contestées de la réforme du RSA, avec 15 heures d’activités obligatoires pour les bénéficiaires. La gauche dénonce une loi qui aura pour seul effet de radier les allocataires.

Pauline Graulle et Cécile Hautefeuille - 29 septembre 2023 à 09h25


Un hémicycle presque vide et une indifférence médiatique quasi générale. C’est dans ce contexte que l’Assemblée nationale a voté, jeudi 28 septembre en fin d’après-midi, l’article 2 du projet de loi « pour le plein emploi » instaurant quinze heures d’activités obligatoires pour les allocataires du RSA. La gauche, clairsemée sur ses bancs, a échoué, à trois voix près, à le faire tomber, en dépit de l’offensive du député Arthur Delaporte, seul socialiste présent au moment du scrutin.

« C’est un regret, on pensait que le vote aurait lieu plus tard dans la soirée, ça nous rappelle qu’il faut une présence quasi permanente », a commenté, pendant l’interruption de séance, l’élu insoumis Éric Coquerel.

Toute la journée, l’amendement du député Les Républicains (LR), Philippe Juvin, instaurant les quinze heures d’activités obligatoires, a occupé les discussions dans l’hémicycle, sous l’œil bienveillant d’Olivier Dussopt, lequel n’est sorti de son mutisme que pour indiquer qu’il émettait un avis défavorable à tous les amendements de la gauche.

En juillet, alors que le groupe de Bruno Retailleau avait ajouté la mesure dans le texte lors de son examen au Sénat, le ministre du travail expliquait pourtant de manière limpide les raisons pour lesquelles il ne voulait pas voir cette obligation inscrite dans son projet. « Si nous écrivons dans la loi quinze heures minimum, que se passe-t-il s’il n’y a pas la possibilité d’offrir quinze heures [d’activité – ndlr] qui soient véritablement adaptées au parcours des personnes ? La seconde raison, [c’est que] pour certains allocataires [les plus éloignés de l’emploi – ndlr], la marche de 15 heures d’activité peut parfois sembler difficilement accessible du premier coup », arguait-il, pragmatique, dans l’hémicycle du palais du Luxembourg.

Une vieille idée de droite


Deux mois plus tard, la nécessité d’obtenir les voix de LR l’a manifestement emporté sur toute autre considération. La totalité du groupe Renaissance a ainsi voté l’amendement de Philippe Juvin. Et Éric Ciotti, le patron du parti Les Républicains, de crier victoire sur le réseau social X (anciennement Twitter) en se réjouissant que « les bénéficiaires des aides sociales [aient] aussi des devoirs ».

La droite peut se satisfaire : elle porte depuis des années l’idée d’un RSA assorti d’obligations. Nicolas Sarkozy en défendait le principe dès 2015 et c’est une ex-LR, Brigitte Klinkert – aujourd’hui députée Renaissance –, qui a instauré en 2016 le RSA conditionné à sept heures de travail bénévole dans le Haut-Rhin.

La proposition a ressurgi en 2022, en pleine campagne présidentielle, formulée par la candidate de la droite Valérie Pécresse et rapidement copiée par un certain… Emmanuel Macron. La promesse était claire : réformer le RSA en obligeant ses bénéficiaires à consacrer « 15 à 20 heures par semaine à une activité permettant d’aller vers l’insertion ». Le tout au nom d’une prétendue « dignité » des bénéficiaires.

« Les 15 à 20 heures ne seront pas inscrites dans la loi. Il s’agit d’un objectif », jurait pourtant Olivier Dussopt au mois de mai dernier. Le « deal » avec la droite et l’engagement du candidat Macron auront, sans surprise, eu raison de cette promesse.

Une réforme inapplicable


Derrière les déclarations triomphales d’une droite toujours prompte à reprendre l’antienne de « l’assistanat » et la satisfaction affichée d’un gouvernement désireux de « remettre les Français au travail », il y a néanmoins loin de la coupe aux lèvres. Seize ans après la création du RSA par Martin Hirsch – une réforme déjà censée favoriser le retour à l’emploi des allocataires du RMI –, la nouvelle mouture du RSA concoctée par le gouvernement Borne a en effet toutes les chances de connaître le même échec.

Non seulement l’amendement de Philippe Juvin a assoupli celui de la droite sénatoriale en lui accolant bon nombre de dérogations en cas de maladie, de handicap ou d’enfant à charge (encore très floue, la liste des personnes exemptées sera fixée plus tard par décret). Mais la mesure se heurte surtout au manque d’ores et déjà criant de professionnels – assistantes sociales, conseillers Pôle emploi, etc. – indispensables à son application.

« Le problème, c’est que pour remettre les gens au travail, il faut des mesures d’accompagnement individuel et cela requiert d’importants moyens. Or dans le projet de loi, il y a zéro argent », reconnaît lui-même Philippe Juvin, qui jure que son groupe déposera des amendements pour financer sa mesure dans le futur projet de loi de finances. Des amendements qui n’ont eux-mêmes aucune chance d’être conservés dans le prochain budget marqué par l’austérité qui vient d’être présenté par Bercy et que le gouvernement compte, une nouvelle fois, faire adopter par 49-3.

D’ailleurs, si le budget 2024 du ministère du travail est en hausse de 1,7 milliard d’euros pour permettre le financement de France Travail, il ne prévoit pas d’embauches massives pour assurer les nouvelles missions de l’agence. Seuls « 300 emplois temps plein » sont prévus par le ministère pour gérer « l’accompagnement renforcé » promis et le flux des nouvelles et nouveaux inscrits.

De petits moyens pour un projet de loi qui voit grand : il entend rendre obligatoire l’inscription au chômage « de toutes les personnes en recherche d’emploi ou rencontrant des difficultés sociales et professionnelles d’insertion ». Pour les bénéficiaires du RSA, l’inscription sera « automatique » dès leur demande d’attribution du revenu de solidarité active. Aujourd’hui, quatre millions de personnes perçoivent le RSA, dont 40 % pointent à Pôle emploi.

À lire aussi

De quoi renforcer les craintes de la gauche qui, depuis le début de l’examen du projet de loi au palais Bourbon, lundi, dénonce « l’absurdité » et « l’enfumage » du nouveau « pacte d’engagement » élaboré par le gouvernement Borne. « On n’est pas contre l’accompagnement vers l’emploi des allocataires, mais si le gouvernement voulait vraiment le faire, il faudrait un conseiller pour 50 ou 60 allocataires, ce qui coûterait 10 milliards d’euros », affirme ainsi le député PS Arthur Delaporte qui estime que « l’argent de l’insertion, ils ne l’auront jamais ! ».

La sanction conduit au non-recours


Ce dernier n’a d’ailleurs eu cesse, en début de semaine, d’interpeller le ministre du travail pour disposer de données statistiques concernant les radiations du RSA et leurs conséquences, recueillant pour seule réponse que ces relevés n’existent pas. Or, un document de la Caisse nationale d’allocations familiales a été obtenu par le socialiste Jérôme Guedj, le même qui avait mis Olivier Dussopt KO debout sur le mythe des pensions à 1 200 euros pendant le débat sur la réforme des retraites.

Ce document, consulté par Libération, révèle que « la sanction semble avoir un impact sur le droit au RSA à moyen terme », entraînant « fréquemment une sortie du droit ». Dit autrement : sanctionner les bénéficiaires du RSA ne « remobilise » pas ces derniers, mais les décourage de réclamer leur droit. « Ce que produit la sanction, c’est du non-recours, de l’extrême pauvreté », avertit Arthur Delaporte.

Toute la journée, et jusque tard dans la soirée lors de laquelle était discuté le chapitre 3 du texte portant sur les sanctions, les députés de la Nupes ont tenté de faire apparaître la dimension purement coercitive du projet de loi. Voire de repousser les assauts de la droite, soutenus par la majorité présidentielle, pour durcir davantage le volet des sanctions. « Ce projet n’étant pas financé, vous venez d’inventer le service public de la radiation, pas le service public de l’insertion », a résumé le patron des députés socialistes, Boris Vallaud.

Le communiste Pierre Dharréville a lui aussi contesté la philosophie du texte, consistant à « radier à grande échelle » les demandeurs d’emploi. Quant à l’Insoumis Hadrien Clouet, il a fait le parallèle avec la stratégie et la rhétorique des réformes Hartz IV adoptées en Allemagne entre 2003 et 2005, qui ont contribué à l’explosion de la pauvreté.

Dans les prochains jours, doit être également discutée la seconde partie de la loi, qui vise à renommer Pôle emploi en France Travail. Dans l’hémicycle, Hadrien Clouet a déposé un amendement pour lui préférer le nom de « France Travail gratuit ». Il a été rejeté.

Pauline Graulle et Cécile Hautefeuille


Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus

 

Un petit article qui revient la création du taylorisme.

Juste un bémole sur le titre qui laisse penser qu'avant le taylorisme le travail était cool.

 

Pour contexte : il y a eu ce printemps un mouvement contre les JO de paris 2024 qui consistait a s'inscrire en tant que bénévole pour ne finalement pas se rendre aux JO. Voici un article expliquant le pourquoi et le comment de l'action : https://basta.media/Pas-de-benevoles-pour-les-JOP-jeux-olympiques-paralympiques-2024-tutoriel-pour-gacher-leur-campagne-de-travail-dissimule.

A noter que maintenant c'est trop tard pour s'inscrire.

Néanmoins, ceci est juste un rappel pour celles et ceux qui se sont déjà inscrits en tant que volontaires pour les JO en vue de ne pas y aller : l'organisation vous enverra un message de confirmation (par e-mail et sur l'espace volontaire) avec votre poste. Vous recevrez votre mission entre le 20 septembre et le 20 décembre.

Si vous ne répondez pas à ce message sous 10 jours, l'offre de mission sera envoyée à quelqu'un d'autre, et ce serait quand même dommage d'avoir fait une fausse candidature pour ne pas être sélectionné.

Donc, pour le moment, juste un coup d'œil une fois par semaine suffit pour poursuivre le processus et on verra bien par la suite. Il me semble qu'il n'est pas prévu d'entretien pour tout le monde.

Pour info : il y a 300 000 candidatures pour 45 000 postes de volontaires.

 

Quelques argument contre les personnes qui veulent absolument protéger le travail. Les liens dans le liens sont aussi intéressant (et le blog aussi d'ailleurs).

11
submitted 1 year ago* (last edited 1 year ago) by [email protected] to c/[email protected]
 

Je poste ici car j'ai vraiment l'impression que les différentes grèves d'Emmaüs sont trop peu relayées, un peu par des médias locaux mais ça s'arrête là.

Depuis le 4 juillet, les "bénévoles" de certains centres Emmaüs sont en grève, pour le moment seulement dans le Nord. Tout d'abord, les compagnons de Saint-André-lez-Lille, puis de Grande-Synthe (à partir du 23 août), et enfin de Tourcoing (11 septembre), se sont mis en grève pour de meilleures conditions de travail.

La plupart des compagnons actuellement en grève sont sans-papiers. Ils touchent 400 euros par mois pour 40 heures de travail dans des conditions parfois dangereuses et indignes (hygiène, propos racistes et attitudes méprisantes). De plus, les conditions s'apparentent exactement à du travail sans en être, du travail dissimulé en somme.

De ce que j'ai compris, les centres Emmaüs sont agréés comme OACAS (Organisme d’Accueil Communautaire et d’Activité Solidaire), ce qui permet d'appliquer un droit du travail différent.Depuis le début de leur grève, les différentes directions ont déjà envoyé les policiers pour leur mettre la pression et surtout les ont menacés de radiation (et donc d'abandonner leur procédure de régularisation). Ces potentielles radiations sonnent d'autant plus comme un chantage que ces personnes sont logées sur place et sont donc sous la menace d'expulsions et de mise à la rue.

Bien entendu, la direction nationale d'Emmaüs assure que ce sont des conditions spécifiques à ces centres, que c'est la faute aux gérants, ...

Les revendications sont : une régularisation, la fin du chantage à l'emploi et la requalification des contrats.

Il y a plus d'infos sur cette grève sur Twitter, mais il faut bien chercher. Ces grèves sont principalement soutenues par la CGT du Nord, donc vous pouvez vérifier les comptes s'y rapprochant et aussi celui de Révolution Permanente.

Voilà, si vous êtes dans le coin, n'hésitez pas à passer leur apporter un peu de soutien.

Force aux grévistes !

Sources :

 

Il y a eu un complément d'enquete hier soir sur leclerc. Voici l’émission complète : https://www.france.tv/france-2/complement-d-enquete/5204925-prix-casses-et-coups-de-pression-revelations-sur-le-systeme-leclerc.html

Il y avait déjà eu un teaser qui avait été donne sur twitter ou l'on voyait que certains gérant de magasins faisait signer, a la place de CDD, des CDI en même temps que ... des lettres de démissions dans le but de payer moins. Ça a beau être illégale, les personnes victimes de ça ne vont pas aller se syndiquer de toute façon, donc peu de risque pour eux...

Concernant le docu, il explique la politique de prix de leclerc, les magouilles financières du groupe, ... Et aussi : des fournisseurs qui vont faire de la mise en rayon (gratuitement cela va de soi), des taches a faire (potentiellement dangereuses) en plus de son contrat de travail, des la répression de syndicalistes et aussi le cas d'au moins au magasin ou l'on signe des CDI avec lettre de démission a la place de signer un CDD...

 

Encore un peu de critique du travail avec un résumé (bien mieux que ce que je peux faire) du livre d’Alaistair Hemmens « Ne travaillez jamais » avec de jolies illustrations :)

view more: ‹ prev next ›