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[ecologie] Un cheval collecteur de compost en banlieue parisienne
(www.courrierinternational.com)
Hop, [email protected] c'est finit, merci de migrer sur [email protected]
Bien sûr. On ne pouvait effectivement pas être vegan avant, notamment à cause de carence en vitamine B12. Mais maintenant on peut, et c'est une très bonne chose. Grâce à ça on n'est plus obligés d'exploiter et de tuer des animaux pour survivre.
Non, on ne peut pas se dire vegan et vendre de la viande. Être vegan c'est faire ce qu'on peut pour minimiser la souffrance animale, et au moins ne pas y contribuer (et pas seulement par l'alimentation). Même en imaginant une vie parfaite et heureuse, juste le passage obligatoire à l'abattoir est une souffrance énorme pour les animaux.
Oui on peut imaginer plein de choses, mais c'est plus de l'ordre de la fiction.
Tu penses qu'elles sont sentientes d'une manière totalement différente de notre sentience. Mais si c'est si différent, comment tu fais pour déterminer ce qui les fait souffrir ou ce qui leur procure du plaisir ? Ça pourrait très bien être l'inverse de notre intuition. Peut être qu'une plante adore qu'on lui coupe une branche ou qu'on lui marche dessus, par exemple. Ou que ça lui est totalement indifférent. Quand on est dans la fiction on peut tout imaginer, y compris son contraire. Le problème c'est que ça n'aide pas à faire des choix moraux.
On peut écrire des programmes informatiques qui font ça dans une simulation (dans des jeux vidéos par exemple) mais personne ne dira que c'est un début de sentience.
On est d'accord là dessus, la discussion portait sur lequel est le pire dans un exemple précis pour lequel on a peu d'information. Si on considère par défaut que les animaux sont bien traités c'est normal de penser que la solution animale est la moins pire. Si on considère par défaut qu'ils sont mal traités c'est normal de penser que la solution animale est la pire.