[-] [email protected] 5 points 3 months ago

Les 7 % d'électeurs qui votent pour la gauche seulement si elle est désunie ne veulent pas avoir la gauche au pouvoir en fait... Et on peut ajouter les 3 % qui vont volontairement voter pour un candidat en dehors de l'union. Faut arrêter de faire la fine bouche, surtout quand l'extrême droite est aussi haut !

[-] [email protected] 7 points 5 months ago

It doesn't have to be delicious, but it should contain most of the essential nutrients, at least similar to the non-vegan options. "French fries with ketchup" doesn't meet this requirement.

[-] [email protected] 5 points 7 months ago

Entre autres parce qu'on ne veut pas risquer que le véhicule qui les transporte explose dans l'atmosphère et les répande partout sur terre, et aussi à cause du coût complètement démentiel que ça représenterait.

[-] [email protected] 4 points 10 months ago

Les infotrafics et les itinéraires alternatifs proposés par Google Maps ne font pas autre chose que de rajouter une bande de trafic virtuelle (sous forme d’un itinéraire alternatif) et donc élargissent le haut de l’entonnoir. Les infos trafic restent utiles dans les cas particuliers où votre destination est complètement différente du reste de la circulation. Où si la congestion apparait brusquement, comme un accident : dans ce cas, vous pourriez avoir le bénéfice rare, mais enviable d’emprunter l’itinéraire de secours juste avant sa congestion.

La plupart du temps, les infotrafics sont globalement contre-productifs par le simple fait que tout le monde les utilise. Elles seraient parfaites si vous étiez la seule personne à en bénéficier. Mais comme tout le monde les utilise, vous êtes également obligé de les utiliser. Tout le monde y perd.

Leur impact premier est surtout psychologique: en jouant avec les itinéraires alternatifs, vous pouvez vous convaincre que vous n’avez pas d’autre choix que prendre votre mal en patience. Alors que, sans eux, vous serez persuadés qu’il y’a forcément une autre solution.

Leur impact premier est surtout psychologique: en jouant avec les itinéraires alternatifs, vous pouvez vous convaincre que vous n’avez pas d’autre choix que prendre votre mal en patience. Alors que, sans eux, vous serez persuadés qu’il y’a forcément une autre solution.

Intéressant. C'est surtout pour le trafic en temps réel que je les utilise, donc je vais peut être retenter les alternatives basées sur OpenStreetMap.

[-] [email protected] 4 points 1 year ago* (last edited 1 year ago)

Aurore Stéphant dit un certain nombre de conneries dans cette interview. Certaines sont relevées sur le lien captainfact, sinon :

Je conseillerai plutôt les vidéos du Réveilleur (longues aussi).

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submitted 1 year ago by [email protected] to c/[email protected]

France was extremely unequal 200 years ago; now it's one of the most equal countries

Source: https://twitter.com/xruiztru/status/1687702683250003969

[-] [email protected] 7 points 1 year ago

It's not about "all life" but about "all sentient life". Only beings that are able have pleasant and unpleasant experience should be considered. If something (living or not) cannot experience suffering then you can't harm it, by definition.

Sentience is studied scientifically. It cannot be stated with absolute certainty but scientists have good sets of criteria and experiences that helps identify it. With the current knowledge it's almost certain that all mammals are sentient, like us. Fishes and birds are also very likely to be sentient. Some species of insects are probably sentient while others may not be. And plants are likely not sentient.

But even if all living things are sentient, it doesn't change very much. Speciesism means treating beings differently only because they belong to some specific species. There are good reasons to treat different beings differently but they should be based on the beings' interests, not their species (and studying sentience helps identifying these interests). It's very likely that we do less harm by growing plants than by breeding animals. And even if it was the same amount of suffering we would still do less harm by avoiding eating animals because breeding them to eat them actually requires more plants than just eating plants. We should seek to minimise suffering and avoiding eating animal is a good way to do that.

[-] [email protected] 4 points 1 year ago

It is indeed about morality. Morality is about what is "good" and "bad", so it's perfectly in line with OP's question "why is the consumption of meat considered bad".

Religions have arbitrary morality so it doesn't seem very interesting to discuss why these religions allow or forbid to eat their specific set of animals, unless you're studying these religions.

Moral philosophy on the contrary tries to study morality with real arguments. In almost all cases they agree it's bad to harm others while it's not necessary. Even with our intuitive morality most people would agree with that. And in most cases eating animals products contributes to harming them and is not necessary. It was not necessarily the case in the past, but today it is. So eating animal products nowadays is immoral.

The environmental problems only adds additional harms on top of that by causing harms to even more animals, including humans.

[-] [email protected] 11 points 1 year ago

Because it's speciesism. If we started giving birth to humans to eat them, that would be absolutely outrageous, but to do that to animals seems perfectly fine to most people. Animals have the same desire as we do not to be killed or abused, and to live a happy life.

[-] [email protected] 5 points 1 year ago

https://frame.work/

Tu n'en trouveras probablement pas d'occasion car trop récent mais ils sont très réparables (tous les éléments peuvent être remplacés) et tu peux les faire évoluer. Il y a le modèle 13 pouces disponible et un 16 pouces qui vient de sortir en précommande.

[-] [email protected] 10 points 1 year ago

C'est généralement pas une bonne idée. Les ruches ont toutes les mêmes espèces d'abeilles domestiques et font concurrence aux pollinisateurs sauvages donc c'est mauvais pour la biodiversité.

Source : Pierre-Arnaud Prieur, chargé de biodiversité à Métropole Rouen Normandie, interviewé dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Z0bg84teJPY

Quand on cherche à installer des ruches pour protéger les insectes pollinisateurs c'est comme si pour protéger les oiseaux on installait partout des poules.

Ce qu'il faut faire c'est diversifier au maximum la ressource florale, donc planter, planter, planter. Et ensuite aussi diversifier les habitats de ces espèces [de pollinisateurs sauvages]. On peut aussi se renseigner auprès de notre commune.

[-] [email protected] 3 points 1 year ago

En tout cas, oui etre vegan, actuellement, c’est mieux. Mais si tu dois bouffer un rat pour survivre ou des pissenlits par les racines, tu le bouffe. pour moi, le veganisme existe car une injustice envers les animaux mais aussi ya des conditions qui lui permettent d’exister (serres, frigo, commerce…)

Bien sûr. On ne pouvait effectivement pas être vegan avant, notamment à cause de carence en vitamine B12. Mais maintenant on peut, et c'est une très bonne chose. Grâce à ça on n'est plus obligés d'exploiter et de tuer des animaux pour survivre.

j’ai travaillé dans ces collectifs, assos, entreprises qui font de la traction animal (debardage ou travail du sol) ou vendait de la viande (élévage de chèvre ou moutons). J’ai travaillé avec eux et on était végan (ou flexitarien a forte tendance végan).

Non, on ne peut pas se dire vegan et vendre de la viande. Être vegan c'est faire ce qu'on peut pour minimiser la souffrance animale, et au moins ne pas y contribuer (et pas seulement par l'alimentation). Même en imaginant une vie parfaite et heureuse, juste le passage obligatoire à l'abattoir est une souffrance énorme pour les animaux.

je pense que leur sentience est bien là mais programatique et décentralisée. Je sais pas comment dire mais j’ai le sentiment qu’elles ont externalisée leur fonction.

Oui on peut imaginer plein de choses, mais c'est plus de l'ordre de la fiction.

Tu penses qu'elles sont sentientes d'une manière totalement différente de notre sentience. Mais si c'est si différent, comment tu fais pour déterminer ce qui les fait souffrir ou ce qui leur procure du plaisir ? Ça pourrait très bien être l'inverse de notre intuition. Peut être qu'une plante adore qu'on lui coupe une branche ou qu'on lui marche dessus, par exemple. Ou que ça lui est totalement indifférent. Quand on est dans la fiction on peut tout imaginer, y compris son contraire. Le problème c'est que ça n'aide pas à faire des choix moraux.

La plante c’est pareil, elle rencontre une situation et va s’adapter. Elle va enregistrer les climats, le sol, son environnement et le stocker dans une graine. On est passé de quelque chose qui était un signal d’alerte due aux infos du capteur à une réation-émotion. c’est le debut de la sentience car elle encourage un comportement qui nous protege.

On peut écrire des programmes informatiques qui font ça dans une simulation (dans des jeux vidéos par exemple) mais personne ne dira que c'est un début de sentience.

Les 2 sont problématiques. Je les séparerais pas : le bien etre des animaux viendra de la réduction des l’usage des machines, restauration et protection des espaces naturels et de meilleure lois et alimentation.

On est d'accord là dessus, la discussion portait sur lequel est le pire dans un exemple précis pour lequel on a peu d'information. Si on considère par défaut que les animaux sont bien traités c'est normal de penser que la solution animale est la moins pire. Si on considère par défaut qu'ils sont mal traités c'est normal de penser que la solution animale est la pire.

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NeuralNerd

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