Snoopy

joined 1 year ago
MODERATOR OF
[–] [email protected] 5 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (8 children)

L'autre grosse barre c'est la suite Adobe et Autodesk : les suites creatives.

Des utilisataires pareils c'est terrifiant. Jamais j'aurais imaginé qu'on puisse nous casser les pieds parce qu'on a migré de office version 0,0001 à office 0,0002 😨

Autant écrire ce qu'on a tous pensé faire un jour. 😈

On verrouille l'ordi, le bios, puis on part aux Bahamas. Une fois au Bahamas, on lance une grosse maj en SSH à 3h du matin :

  • Sudo rm -R windows -v8,9,10,11
  • Sudo apt install Fedora Kinoite & libreoffice
  • mdp : hellfire
  • For this operation 123 Go will be removed. You need 4 Go of free space memory.
  • Do you want to continue yes or no ? Y

Et j'edite le fichier host et met tous les réseaux sociaux et moteur de recherche. En fond d'écran, le grand schtroumph bleu, Philippe Katerine. Et ça va les détendre. :)

[–] [email protected] 3 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (5 children)

De visu c'était assez fin, je te retrouverai les specs. :)

Heeeuuu non merci pour la casserole. Mais effectivement je dois me tenir à l'écart des plaques à induction et trucs eleccronagnetiques. :')

[–] [email protected] 5 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (17 children)

Pas convaincu, les principaux freins à linux :

  • peu d"ordi avec Linux comme système principal à la Fnac par exemple.
  • un écosystème lié. Exemple : une entreprise a développé un logiciel qui tourne sur windows. Le réécrire pour qu'iels tourne sur linux demande du temps.
  • manque de politique forte en faveur de linux. Si on imposait à la fnac un quota representation des OS ? 30% apple, 30% linux, 30% windows ?

Ce qui pourrait favoriser son adoption ? La Chine, Valve, Risc-V...

[–] [email protected] 2 points 2 months ago

Merci, j'espère en finir vite et passer l'étape désagréable assez vite :)

[–] [email protected] 2 points 2 months ago (9 children)

Oui, ya bien un aimant, je ne trouve pas de schéma super précis qui explique mieux où est l'antenne et l'aimant, je saisis pas pourquoi ya une antenne. Je pensais que le son était envoyé electroniquement.

Schéma simplifié des composants de l'implant cochléaire :

L'implant nucleus, partie interne :

[–] [email protected] 4 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (11 children)

Sous la peau ya un aimant et c'est connecté aux 25 electrodes logés dans la cochlé. Le processeur, c'est le contour de l'oreille, il est à l'exterieur. Et je peux renforcer son matient avec un embout auriculaire comme pour mes prothèses auditives.

[–] [email protected] 4 points 2 months ago* (last edited 2 months ago) (2 children)

J'arrive à lire, ce sont plutot les mouvements qui me donnent le tournis.

Yep je dors pas mal pour récuperer mon manque de sommeil à cause de la douleur niveau tympan. :)

[–] [email protected] 3 points 2 months ago (1 children)

Je dirais 2 aussi :)

  • Risotto
  • Tiramisu
[–] [email protected] 1 points 2 months ago
[–] [email protected] 1 points 2 months ago (2 children)

Well so area in france are peaceful for me, in countryside at the top of a hill. But it's not the same mood, i'm guessing is nore open. :)

[–] [email protected] 1 points 2 months ago (1 children)

Yeah, that PFH is probably the hardest to deal with in our lifetime. I recommend to go with IDF solution : the incredible dog friend.

[–] [email protected] 1 points 2 months ago (1 children)

Thank a lot 😋

 

cross-posted from: https://lemmy.world/post/10900144

Years have gone by and hundreds of comments have been written about the proposal, but the main screen still looks like this:

minetest main menu

What do you guys think is the cause of this stagnation? Too much discussion? Too few people willing to fork it?

I've thought about it myself and why I didn't contribute a new main menu and came to the following conclusion: It requires understanding Minetest's codebase and the libraries it uses, it requires C++ experience (which I don't have), and after all that effort there's zero guarantee that it ever gets used.

Intérresant à suivre 🤓

 

cross-posted from: https://jlai.lu/post/3686782

 

Ça concerne pas complètement notre région mais les tissus de la montagne noires se retrouvent un peu partout :)

 

Extrait

Le texte paru dans « Feu follet », accessible sur le site depuis la semaine dernière, critiquait un « vivre avec » faisant abstraction du covid et de ses conséquences mortifères. À un certain consensus sur l’importance de la réduction des risques au tout début de la pandémie a succédé un silence assourdissant au sujet de la gestion collective de la maladie. Celle-ci s’est normalisée dans la plupart des discours publics et sa prise en compte embarrasse les lieux de vie, les collectifs et les lieux accueillant du public qui s’étaient pourtant saisis de la question en 2020. Les logiques collectives expérimentées ont progressivement cédé le pas aux logiques individualistes. Amorce d’une histoire à la première personne.

Au début de la pandémie de Covid-19, les initiatives autonomes pour préserver la santé des un·es et des autres ont foisonné : brigades de solidarité populaire pour distribuer des repas aux plus pauvres pendant le confinement, fabrication artisanale de masques, auto-organisation à l’échelle des quartiers. Des paroles et des réflexions ont accompagné ces actions. Elles venaient des militant·es de la lutte contre le VIH/Sida (Gwen Fauchois) ; du milieu écolo (Aude Vidal) ; de groupes antivalidistes (le Collectif Luttes et handicaps pour l’égalité et l’émancipation) ; de personnes venues des luttes anticarcérales, antiautoritaires ou antifascistes (Acta.zone).

Au sortir du confinement, des collectifs ont continué à prendre des mesures pour éviter d’occasionner des clusters, avec des tests, des masques, de l’aération. Mais, en parallèle, les intérêts économiques pesaient de tout leur poids pour inciter à un retour rapide au business as usual, puis l’arrivée des vaccins dans les pays industrialisés a changé la donne. L’attention portée au Covid est peu à peu retombée, même dans les espaces qui y étaient les plus sensibles. Au fur et à mesure que la pandémie se banalisait, avec ses vagues à répétitions, le Covid a cessé d’être perçu comme un problème social urgent dont il fallait s’emparer et les gestes de protection collectives sont tombés en déshérence.

Je voudrais raconter un bout de l’histoire de ces quatre années de pandémie, celui dont j’ai été témoin, depuis la petite partie du champ politique où je m’inscris, où les gens valorisent le fait de s’auto-organiser, critiquent depuis toujours l’État et ses institutions répressives, sont hostiles au capitalisme et aux destructions qu’il engendre et attentif·ves aux relations de pouvoir qui structurent la société. Depuis 2020, dans ce camp des luttes et du mouvement social, une position a éclos, revendiquant l’importance de se prémunir collectivement de la contagion, indépendamment des directives gouvernementales, pour des raisons politiques. La position de ces personnes et groupes favorables à l’« autodéfense sanitaire » consiste :

    à reconnaître le caractère politique de la pandémie : la façon dont elle frappe inégalement les un·es et les autres : les personnes racisées, psychiatrisées1, handicapées, détenues, marginalisées ont payé le plus lourd tribut à la pandémie.
    à adapter les concepts de réduction des risques, de santé communautaire et inventer les pratiques correspondantes dans le contexte pandémique et dans une démarche pragmatique et solidaire. L’idée est de mettre en place des mesures collectives permettant de socialiser tout en minimisant les occasions de se transmettre une maladie potentiellement mortelle, susceptible de donner lieu à des Covid longs parfois invalidants. Pour les définir, il s’agit de prendre en compte la transmission aéroportée de la maladie établie scientifiquement : les minuscules particules produites en respirant et en parlant par un individu contaminé (même asymptomatique) restent en suspension dans l’air et peuvent mener à la contamination d’autrui2. En intérieur, le port du masque et l’aération permettent ainsi de lutter efficacement contre la contagion3.

Bien souvent, cette position nécessitait aussi de rappeler l’évidence : la pandémie est un événement majeur, qui a tué plus de 15 millions de personnes dans le monde, engendré des maladies chroniques pour des millions d’autres, et reste d’actualité.

Il y a aussi, derrière l’idée d’autodéfense sanitaire, celle que la propagation d’une maladie infectieuse révèle nos interdépendances. En temps d’épidémie, être contaminé·e, c’est aussi être contagieux·se et ne pas prendre de précautions n’engage pas que soi.

Le travail d’élaboration, de proposition, de discussion de l’autodéfense sanitaire a été mené de mille façons différentes : il y a celles et ceux qui ont écrit des textes, fait des émissions de radio, écrit des mails pour rappeler que « ce serait une bonne idée de se tester avant de se retrouver pour la résidence », discuté avec les ami·es et leurs collectifs, mis en ligne des informations sur la maladie et les moyens de s’en prémunir, etc.

Je partage cette volonté de prendre en compte la dimension politique de la pandémie de Covid-19. Mon récit est donc situé. Il est aussi forcément lacunaire. J’y retrace ce que j’ai vu autour de moi, principalement dans l’Est de la France et en Rhône-Alpes, dans des collectifs auxquels j’appartiens (dont Jef Klak) ou qui me sont proches. J’ai interrogé au printemps d’autres personnes impliquées dans l’autodéfense sanitaire pour savoir comment nous avons cheminé ces trois dernières années et mieux comprendre où on en est aujourd’hui. Je leur ai demandé comme je me demande : quel bilan peut-on tirer de ces tentatives de faire vivre cette question, alors que malgré les Covid longs qui s’accumulent, tout le monde ou presque est revenu à la « normale » ? à quelles nouvelles réflexions nous invite cette situation de « minorité dans la minorité » ? Comment faire, avec ce désaccord majeur qui s’invite un peu partout dans les façons de s’organiser, sans se détester et se faire trop de mal ? Que met-on derrière les mots d’« autonomie » et de « soin » ? Et avant tout comment en est-on arrivé là ?

 

The player is skilled. 😇

 

cross-posted from: https://jlai.lu/post/3663002

Pour des raisons mystérieuses que les biographes n’attribuent pas directement à Eileen, son écriture s’est soudainement améliorée. « Il est probable que la transformation de l’œuvre d’Orwell à partir du Quai de Wigan doive beaucoup à la stimulation intellectuelle que lui a apportée son mariage », écrit l’un d’eux, euphémiquement. Eileen avait supprimé le mot « obéir » de ses vœux de mariage. Un premier acte radical du génie de l’édition — elle écrivait « émendations » sur ses projets, et ils travaillèrent très étroitement ensemble sur La Ferme des animaux — qui allait caractériser son mariage.

Une review en anglais :

https://www.theguardian.com/books/2023/jul/07/wifedom-by-anna-funder-review-a-brilliant-reckoning-with-george-orwell-to-change-the-way-you-read

 

Pour des raisons mystérieuses que les biographes n’attribuent pas directement à Eileen, son écriture s’est soudainement améliorée. « Il est probable que la transformation de l’œuvre d’Orwell à partir du Quai de Wigan doive beaucoup à la stimulation intellectuelle que lui a apportée son mariage », écrit l’un d’eux, euphémiquement. Eileen avait supprimé le mot « obéir » de ses vœux de mariage. Un premier acte radical du génie de l’édition — elle écrivait « émendations » sur ses projets, et ils travaillèrent très étroitement ensemble sur La Ferme des animaux — qui allait caractériser son mariage.

Une review en anglais :

https://www.theguardian.com/books/2023/jul/07/wifedom-by-anna-funder-review-a-brilliant-reckoning-with-george-orwell-to-change-the-way-you-read

6
submitted 9 months ago* (last edited 9 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 

C'est terrible de découvrir qui était réellement Albert Einstein...

En tout cas, bien que nous n'avons pas de preuves autres que ces lettres et aucun moyen de connaitre son implication réelle dans la recherche, nous pouvons affirmer que Miléva a participé à un des plus grandes découvertes scientifique du XXème sciècle et qu'on va réécrire l'Histoire grace aux historien.nes.

49
submitted 9 months ago* (last edited 9 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 

Vu la popularité de médiapart ici, je pense qu'on devrait prendre un abonnement pour jlai.lu et iels font de super articles. 😁👍

Dommage que ce soit complexe à mettre en oeuvre...revenons à Médiapart ! ☺️

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J'ai jamais vu un article répéter 15 fois la meme chose...il est mauvais mais l'essentiel est là :

Les calculs des différents organismes donnent un niveau de réchauffement légèrement différent, et Berkeley Earth a toujours tendance à être un peu supérieur aux autres en raison de son choix des données océaniques. Mais quoi qu'il en soit, si le seuil des +1,5 °C de réchauffement n'est pas déjà franchi, il le sera dans les prochains mois de l'avis de tous.

Pour moi ça a déjà été franchis parce que justement la pollution limite les rayons du soleil et masque le changement climatique réél. En fait, faudrait un autre calcul qui ne dépend pas de la température relevée mais des seuils de co2 accumulés et emissions annuels. Ça donnera tout de suite moins de manoeuvre.

Genre tu veux prendre un jet pour la cop29. Hé bien t'y va pas et fait ~~une visio~~ un mail/forum. Voilà.

 

Les herbicides à base de S-métolachlore sont interdits à la vente depuis le 20 octobre. Leur utilisation reste toutefois autorisée pendant encore un an. La Bretagne est la région la plus contaminée. Tous les cours d’eau analysés en 2021 présentaient au moins un prélèvement dépassant le seuil de 0,1 µg/l du métolachlore-ESA, l’une des principales molécules persistantes issues de la dégradation du S-métolachlore.

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