J'ai la quasi-certitude que ce sera un premier ministre de droite...voilà pourquoi j'étais pas pressé de revenir aux choses sérieuses.
En fait, il vaut peut-etre mieux qu'il nomme personne et laisse la France se reposer sans gouvernement. Pas de lois, rien.
C'était simple, un enchainement musicale.
On était bien sans gouvernement... 🥺
Ouiiii cela je veux les voir :D
Pourtant ça marche bien...
Est ce que le grand schtroumph bleu sera de retour ? 🥳
Moi non plus je n'ai pas compris où est le danger. 4° au dessus des normales c'est énorme. Mais il nous manque la conséquence :
Yeah il était bien, elles nous ont fait revé jusqu'au bout 💓
Ce but de Willams qui décroche les 2 points aux dernières secondes était sublime. Il s'en est fallu de peu pour qu'on égalise avec 3 points. 🥺
Biographie de Wikipédia
Née en 1970 en Angleterre, Jenny Saville suit ses études secondaires à la Lilley and Stone School à Newark, dans le Nottinghamshire.
Elle obtient son diplôme à la Glasgow School of Art (1988–1992) et gagne une bourse de six mois à la University of Cincinnati ; elle déclare :
« De nombreuses femmes énormes. Beaucoup de chair en short et t-shirt. C'était bien à voir parce qu'elles avaient le physique qui m'intéressait.»
Ce type de physique lui rappelle Pablo Picasso, dont elle dit s'inspirer partiellement. Elle le voit comme un peintre qui fait des sujets comme s'ils étaient « solidement présents et … non éphémères ».
L'artiste est repérée par le monde de l'art en 1993, à la suite de l'achat de ses œuvres de fin d'études par le collectionneur et marchand d'art Charles Saatchi, puis de son invitation à exposer à la galerie Saatchi. Elle s'impose ensuite dans le mouvement des Young British Artists grâce à ses peintures de nus explorant le corps de la femme.
Elle est parfois décrite comme l’héritière de Chaïm Soutine, Francis Bacon et Lucian Freud pour sa manière de peindre la chair.
Biographie tiré de Wikipédia
Il est le fils du peintre Alexis Mossa (1844-1926), auteur de nombreuses affiches pour le carnaval de Nice, qui l'influença dans sa carrière d'artiste-peintre et à qui il succéda au poste de conservateur du Musée des Beaux-Arts Jules Chéret de Nice qu'il dirigea de 1926 à 1971.
Gustave-Adolphe Mossa est un peintre symboliste tardif dans la mouvance de Gustave Moreau, Lucien Lévy-Dhurmer, Edgard Maxence ou Émile-René Ménard. Imprégné de ses lectures, Mallarmé, Baudelaire, Huysmans, il s'inspire des maîtres du Quattrocento, des préraphaélites et de l'art nouveau. Il a produit environ cinquante huiles, quatre-cents aquarelles et quelques œuvres gravées symbolistes.
Mais son œuvre ne peut se résumer à sa seule peinture symboliste :
Dans le domaine de la peinture, comme son père Alexis il a exécuté de nombreuses aquarelles de paysages. Il s'est exercé à l'expressionnisme, produisant, dans les années 1903 à 1904, cent-quatre-vingt-neuf dessins à l'encre de chine et aux crayons de couleur, caricaturant tantôt les mondains tantôt les religieux, s'intéressant aux petits métiers ou à l'actualité, signés Mossa ou Karl Joël (exceptionnellement Karl Joris) en hommage à Huysmans.
En tant que carnavalier il a produit plusieurs dizaines de maquettes de chars (le plus souvent dessins aquarellés) pour le carnaval de Nice, maquettes dans lesquelles il a gardé la créativité et l'exécution de sa période symboliste. Beaucoup de ces maquettes ont servi de base à la réalisation de chars[3].
Au théâtre, il a commencé par l'écriture de pièces symbolistes (Dom Quichotte, Plume d'Ibis) pour lesquelles il a créé en outre des frontispices et projets de décor ; puis il a fondé la première troupe de théâtre dialectal en niçois, le théâtre de Barba Martin, pour lequel il a écrit des pièces en niçois (comme La Nemaïda, en 1924, ou La Tina, en 1931)[4].
Mossa est aussi un illustrateur de livres, avec l'illustration de plusieurs ouvrages illustrés pour la Librairie des Amateurs de A. et F. Ferroud, celle des œuvres de Dominique Durandy, des éditions de musique folklorique niçoise, des ouvrages divers sur la Côte d'Azur etc.[5]
Il a produit l'essentiel de son œuvre symboliste jusqu'en 1918. Il n'a exposé ses œuvres symbolistes que dans sa jeunesse puis les a gardées par devers lui sans jamais plus les exposer, et elles n'ont été redécouvertes qu'après son décès. C'est le conservateur et professeur d'histoire de l'art Jean-Roger Soubiran[6] qui est à l'origine de cette redécouverte
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Ce sera traité en interne dans le groupe des modos sur Matrix.
Avant tout, nous privilégions le dialogue et les explications : pourquoi c'est raciste, pourquoi c'est transphobe...
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Owls have special anatomical structures that let them twist their heads all over the place, but the current consensus is the rotational limit is 270 degrees. They have twice the number of cervical vertebrae we have, and they are coiled like a spring to aid rotation, while special channels help prevent pinching off nerves or blood flow.
There are 2 reasons owls move their heads all over. The most important is that their eyes can only face straight ahead. They're shaped like light bulbs, with the big end on the inside of their skull, so they can't look at anything without moving their whole head.
Secondly, most of hear in 3 dimensions, and their face shape helps them hear. When you live in the dark, hearing can at times be more important than vision. The concave shape of the owl's face funnels sound to their ears, working the same as you cupping your hands around your ears does. So all that head bobbing and twisting is them looking at something analytically with their eye vision and "ear vision."
I'm a little curious if they can twist further, but I don't know if it's practical. If they overextend one way, they have to snap back around extra far to track whatever they're looking at as it passes outside the range of vision that direction, making them take their eyes off their target longer.
Here is a writeup of the study by New Scientist
Owls should be able to rotate their heads a full 360 degrees, according to an analysis of the birds’ skeletons and muscles – but some researchers still have their doubts.
It has long been known that owls have extremely mobile necks. The birds have been recorded turning their heads entirely upside down, for instance, or rotating them through 270 degrees while keeping their bodies stationary. But Aleksandra Panyutina at Tel Aviv University in Israel and her colleague Alexander Kuznetsov, an independent researcher, suspect an owl’s neck is more flexible still.
The two researchers obtained the bodies of eight deceased owls – belonging to a total of five different species – from two academic institutes in Russia. They then took CT scans of each bird as they rotated its head.
This revealed that owls rely on two strategies during a head turn. First, they rotate some of the joints between the bones in their neck, which allows them to turn their heads up to 126 degrees. Secondly, they physically twist their spine, giving it a spiral staircase-like appearance. Although this coiling severely contorts the spine, Panyutina and Kuznetsov discovered the motion doesn’t damage the bones, ligaments or muscles in the owl’s neck – even if the head turns in a full circle.
As such, Panyutina is confident that “live owls can perform a 360-degree turn”.
Michael Habib at the Natural History Museum of Los Angeles County, who has researched some of the adaptations that allow owls to perform extreme head turns, says the new study is “very cool”. But he doesn’t think we will ever see an owl’s head rotate completely around.
“They were asking whether there’s anything in the bone and muscle that would necessarily prevent a 360-degree turn, and they found that the answer is, somewhat surprisingly, no,” says Habib. But he thinks other anatomical features will probably forbid such turns. Critically, Habib says, the nerves running up the neck would be damaged during a 360-degree spin, potentially leaving an owl unable to fly for several days while the nerves healed. “Nerves don’t like being stretched,” he says.
However, Panyutina disagrees this would be a problem, particularly for nerves, such as the vagus nerve, that pass over the top of the neck muscles. Their placement means these nerves wouldn’t stretch as the bones beneath the muscles twisted and contorted. “The vagus runs freely over the muscles and so easily finds a shorter way during extreme turns,” she says.
To settle the matter, researchers may have to perform experiments with living owls. Panyutina proposes training the birds to focus on a specific target, and then placing them on a rotating platform to see whether they can retain focus on the target through a 360-degree turn.
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From the Center for Wildlife
Humans aren't the only ones out there celebrating the season of love. Many species, like our friends the barred owl are in the midst of carrying out courtship rituals in preparation for breeding season.
Courtship behaviors for the barred owl include a variety of physical contact including affectionate preening and some fun dance moves like head bobbing. This is a great time of year to get out and listen to your local owls as well!
Happy Valentine's Day from all of us here at Center for Wildlife!
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TL , PL : Si vous êtes fan de solarpunk, vous devez vous procurer ce jeu avant qu’il n’y en ait plus.
Ce coup-ci, pas de long billet, mais la présentation d’un jeu auquel vous ne jouerez surement jamais et vous avez surement tort. Je m’explique.
J’ai remarqué qu’il y a quelques fans du courant solarpunk sur lemmy. Courant qui, comme beaucoup d’univers avant lui, semble prendre son envol sous une tutelle consumériste. Ce n’est pas une critique, c’est une fois ces univers « ingérés » qu’ils deviennent un élément de culture populaire et qu’on commence à avoir des œuvres majeurs qui s’en servent pour questionner notre rapport au monde. Bref, le solarpunk est là et suit son bonhomme de chemin.
Cloudage est un jeu d’Alexander Pfister (Port Royal, Great Western Trail, Mombasa, Maracaibo) dans lequel on est un petit groupe de personnes qui naviguent avec son dirigeable sur une terre désolée, on récupère l’eau des nuages sur le toit de notre dirigeable et où reverdit le sol pour ~~bouffer~~ gagner des points. Les villes y sont décrites comme désolées, contrôlées par des petits groupes armés auquel il faut se confronter pour looter. Fait intéressant les personnages sont toujours souriants sur les cartes (On galère, mais l’eau est bonne, comme dirait l’autre !).
C’est un jeu à scénarios. En gros on joue 7 fois avec des choix suivants les situations. Ça rend le jeu difficile à aborder quand on ouvre la boite (j’ai bien passé une heure à m’assurer de à quoi servait chaque pièce), mais plus on avance, plus on « débloque » des mécaniques. La première partie n’est que la découverte de la boucle de base du jeu. Il y a une histoire.
J’ai testé pour vous, le jeu se prête parfaitement au solo !
Le livret de règle est très bien fait, la mécanique est fluide et le matériel très bon.
Comment je suis tombé dessus ? Et bien comme tous les jeux connus sont… connus, et restent cher, il m’arrive de regarder les promos pour savoir s’il y a un coup de cœur, un truc qui pourrait « juste » me plaire personnellement, sans être complètement nul. Et c’est ainsi que Cloudage est apparu sur mon radar : Une belle illustration, un plateau sympa et coloré, pas si mal noté, et un univers rarement exploité en jeu de société.
C’est donc le troisième jeu de société que j’achète sur une promo-coup-de-cœur, après Xi'an et Bosk.
Et bien c’est une grosse surprise, car je m’attendais à moins bien. La première partie n’est pas terrible (50 % du jeu est retiré), mais on comprend que le jeu a du potentiel et pour peu que l’univers nous plaise, on a envie de découvrir la suite, on passe au chapitre suivant, et le (tout) petit scénario se déroule. Si vous avez un peu d’imagination, vous pouvez passer un bon moment à faire ses 7 chapitres.
Qu’est-ce qu’il manque ? Peut-être un côté épique. Comme le jeu a été pensé pour être joué en scénario, on avance, on verdit le sol sur notre passage, et ça recommence, l’intérêt étant dans la petite histoire proposée. C’est, à mon avis, la raison pour laquelle le jeu est assez mal noté. Ce n’est pas un jeu qu’on propose à un groupe de joueur pour ensuite passer à autre chose, c’est une petite expérience ludique sur plusieurs parties.
Malheureusement, bien que beaucoup aient aimé la proposition, le jeu ne s’est pas assez bien vendu pour justifier une extension. C’est la raison pour laquelle il ne sera surement jamais réédité et est souvent en promo (ici, sur Philibert). Comme je sais qu’il y a quelques aficionados de solarpunk, je me dis que ça serait dommage de passer à côté et c’est pour ça que je voulais vous le proposer.
Ça ne changera rien JO ou non. En revanche ça nous a deconnecté de la politique et fait du bien.
Macron est de droite. Faut pas y voir un manque de sérieux, ni une provocation. Il s'en tape le coquignard et veut continuer ses réformes.
Il estime qu'il n'y a pas de majorité et il est convaincu qu'il agit dans l'interet du peuple quitte à exploiter des flou juridiques à ses fins.